
Fotografías
miércoles, 2 de enero de 2013
La obsolescencia programada. Productos con fecha de caducidad

miércoles, 7 de marzo de 2012
TAHRIR, un rappel des insurrections arabes
Le mardi 14 février au Kino a eu lieu la projection de « Tahrir », un documentaire réalisé avec un appareil photo par un producteur italien, Stefano Savona, qui vécut la rébellion Egyptienne de très près. Après un an des révolutions des printemps arabes, il faut rappeler les évènements et analyser ce qui se passe en ce moment.
Le 25 janvier 2011, (jour qu´on appelle « Le jour de l´ire ») après la révolte tunisienne, c´est Egypte qui décide tenir tête à son président, Hosni Mubarak, qui avait le pouvoir depuis longtemps. Pendant un discours adressé aux révolutionnaires, il a lui-même demandé à son peuple la prolongation de son mandat pour battre le record Guinness des chefs de l´état avec plus de 30 ans à la tête d´un gouvernement.
Les Egyptiens oublient toutes ses différences pour se mettre d´accord et lutter ensemble avec le même but : renverser le dictateur qui les avait empêchés d´obtenir la liberté, objectif atteint quinze jours après le commencement du soulèvement.
Dans cette histoire, il y a tous types de personnages ; les plus lâches qui craignent pour leur vie et les courageux qui donnent même la leur pour conquérir la démocratie (on sait qu´il y a eu des immolations au cours de cette insurrection). Ils sont des hommes et des femmes, et il faut remarquer la présence féminine dans ces révolutions arabes puisqu´elles représentent parfaitement bien la liberté et l´égalité réclamées. En plus, ces filles se cassent la tête pour créer de nouvelles propositions pour le gouvernement à venir et la nouvelle constitution tandis que les hommes se font « casser la tête » littéralement à cause des jets des pierres parmi les civils et les militaires.
Des conservateurs (Salafistes ou Frères Musulmanes) jusqu´aux plus libéraux, chrétiens et islamistes, tous participent à cette grande révolte pour la libération du peuple des chaînes du tyran égyptien.
Pour la réalisation du documentaire, le réalisateur ne fait pas de distinction entre les uns et les autres ; il prend le risque de filmer n´importe qui dans n´importe quelle situation, qu´elle soit calme ou hostile. Le combat pour la démocratie coûte beaucoup, et si on veut la montrer au monde, il faut être un combattant aussi mais avec une caméra au lieu d´une arme.
D´autre part, on peut dire que cette révolution est aussi technologique puisque le rôle du réseau social Facebook a une grande importance. On vit un bouleversement de l´appel à la révolte dans les dernières années grâce aux avancées numériques qui rendent plus facile l´engagement dans les révolutions.
Curieusement, le lendemain de la projection de « Tahrir », est parue dans le journal gratuit « 20 minutes » une nouvelle qui disait qu´en Egypte maintenant “il reste tout à faire”, selon un employé d´une ONG européenne. Il semble que les lendemains de février 2011 n´ont pas réussi à induire des vrais changements dans le pays ; en fait, il y a même des gens qui disent que rien n´a changé.
Les Frères Musulmans et les Salafistes représentent 60% des sièges au Parlement, ce qui prouve la grande quantité de population extrémiste qui existe dans l´ Egypte actuelle. La présence de ces groupes, dont le but est de retourner à un islam « pure » et implanter un état musulman en éliminant les influences occidentales, fait que le reste des citoyens se trouvent dans une nouvelle situation de répression ; aujourd’hui, les Égyptiens vivent sous la pression d´un gouvernement militaire aussi exigeant et répressif que le précédant ; cela signifie sans doute que cette lutte ne s´arrêtera jamais…au moins pour l´instant.
martes, 8 de noviembre de 2011
20 novembre 2011, Espagne: doutes et incertitudes
lunes, 10 de octubre de 2011
“Apparitions”: disparition de la routine!

Lorsque´on entre dans l´ancienne gare on voit que la salle devient de plus en plus obscure et l´ambiance, plus intime. En outre, il y a des jeux de lumières à travers toute la salle. Tout d´abord, on découvre des vidéos qui nous montrent la lenteur et la vitesse, des choses banales ainsi que d´autres très importantes; on saisit comment les objets d´habitude peuvent devenir de l´ art grâce au changement de la perspective.
Cette découverte a lieu dans l´attente d´une réponse aux questions dans notre tête ou à l´arrivé d´un train, car ce qui sépare l´oeuvre du spectateur, c´est precisément la voie de chemin de fer de l´ancienne gare. Alors, il s´agit d´une situation qui mélange deux moments différents grâce au contexte dans lequel on se trouve.
Ce type d´oeuvres exige une observation pausée, profonde et solitaire, avec laquelle on pourrait nous introduit directement à l´intérieur des creations, en participant diréctement. En fait, quelques oeuvres n´ont aucun sens sans notre présence; c´est le cas de deux miroirs qui combinent notre reflet avec d´autres effets: un avec l´apparition d´une poupée et l´autre avec l´ éclat d´un orage. Un autre phénomène climatique, qui est présent dans l´exposition, c´est le brouillard: en s´introduisant soi même dans une chambre pleine de brume, le visiteur vérifie un phenoméne avec lequel on a l´impression qu´on disparait.
Par ailleurs, il y a aussi des tableaux avec des contre-jours qui permettent d´entrevoir des figures occultes dans l´ombre. La photographie ne montre pas seulement ce qu´ on a en face, mais change le regard quotidien.
En plus, on peut aussi trouver une grande poupée avec la tête en forme de globe qui porte une baguette, en verité une aiguille. Au bout de quelques secondes, on voit comment il se tue lui même, alors il devient un prof de suicide.
jueves, 28 de julio de 2011
Filipa Cardoso en el FRAH
viernes, 15 de julio de 2011
Experiencia mística con Mark Rothko
Londres. TATE Modern. Una lluviosa tarde de sábado en la que el mejor plan alternativo es un buen atracón de arte contemporáneo, y además gratis. Después de presenciar obras de Picabia, Dalí o Pollock, el museo ofrece una única sala que alberga una serie de cuadros un tanto especiales.
En unos 150 metros cuadrados y bajo una luz tenue distinta a la del resto del museo, (aspectos escenográficos que el artista cuidaba especialmente), están los cuadros del letón Mark Rothko, los cuales conforman una experiencia única que envuelve a los allí presentes.
Es aquí donde comienza un encuentro cuadro-persona, en cual será más íntimo cuanta menos gente haya alrededor. Y es que la observación de estas obras de grandes dimensiones implica una relación cautivadora con unos cuadros que destacan por la ausencia de representaciones figurativas y el predominio del color frente a la forma.
Quien se atreve a traspasar la frontera y se adentra en la sala Rothko, sabe que va a comenzar un viaje de abstracción en el que es preciso pararse, dejar la mente totalmente en blanco y simplemente dejarse seducir por el cuadro hasta notar cómo nuestros sentidos se sumergen en unos colores infinitos. En algunos momentos parece que el cuadro levita y pretende llevarnos con él a otro espacio. Solo la obra y su observador. Es mejor que solo haya un espectador por cuadro, ya que es un trayecto completamente individual en el que nada ni nadie debe interrumpir la experiencia. También es preciso una fusión espiritual con el arte que se nos está mostrando.
En las obras de Rothko existe un dominio sensitivo del color. Parece que los colores, dentro de su gran contraste (naranjas con azules o rojos con negros), se entremezclaran formando un todo gracias al peculiar trazado del color y a un difuminado de las líneas que separan de manera especial un tono de otro.
En estos cuadros no hay formas ni pensamiento formal; la mente solamente fluye y se deja llevar por las emociones y la espiritualidad.
El valor que tiene la obra más allá de las opiniones acerca de la simplicidad que aparentemente pueda presentar, es incalculable. Se trata de una obra que posee un carácter complejo y que esconde un componente de atrevimiento al enfrentarse a un público exigente con una obra aparentemente sencilla en un momento en que en el arte ya estaba casi todo hecho.

martes, 12 de julio de 2011
Un ´manuscrito de nieve´ para refrescar la mente en verano
Esta novela histórica policíaca es el libro zamorano más vendido actualmente
La segunda parte de El Manuscrito de Piedra, libro que fue premiado anteriormente, es a día de hoy el libro de origen zamorano con repercusión nacional más vendido en la ciudad. Su autor, Luis García Jambrina comparte la escritura con la docencia en la Universidad de Salamanca. El Manuscrito de nieve es, según el dueño de Semuret, la obra recomendada para este verano. Solo en su librería se han vendido 150 ejemplares.
Al libro de Jambrina le sigue en popularidad otra novela, esta de ciencia-ficción, titulada Los guardianes de la luz y cuyos autores apenas rozan la veintena. Luis, nuestro guía entre montones de libros, recomienda esta obra a los adolescentes y la sitúa como el libro más vendido a nivel local. Este primer tomo de una trilogía se dará cita en una feria en Alicante para dar a conocer a los jóvenes autores zamoranos fuera de nuestra provincia.
Siguiendo con la novela, destacan títulos como La métrica del olvido de Luis Ingelmo, Asco de Jose Ángel Barrueco y la segunda novela de Mario Crespo, Cuentakilómetros. Esto prueba la proliferación de autores zamoranos en novela a raíz de que Juan Manuel de Prada recibiera el Premio Planeta. Algunos de estos autores incluso están en editoriales de primera línea.
Sin embargo, no debemos olvidar que Zamora es cuna de poetas. De hecho, una de las autoras más conocidas tuvo su hueco en nuestro periódico hace un par de números: Amparo Enríquez y su Chocolate, olvido y versos es uno de los libros de poesía autóctona más importantes.
Por otra parte, en cuanto a literatura infantil, Luis nos recuerda que Zamora tiene la suerte de tener a Braulio Llamero como uno de los autores más destacados en este género. Del mismo modo, Alba Bartolomé es una gran ilustradora de cuentos infantiles. No obstante, resaltar dentro de la escritura de libros para niños no es tan sencillo como puede parecer.
En cuanto a las ventas, en estas fechas se adquieren más libros, pero nos cuenta Luis que las compras están más diversificadas. Los best-seller y la literatura de bolsillo se sitúan en la cima, pero también hay cabida para el género infantil y como no, los libros de temas locales, los cuales son vendidos en su mayoría a zamoranos que regresan de sus lugares de trabajo y vienen a su ciudad de origen para obtener libros que de otra manera no podrían conseguir. Asimismo, los turistas se ven atraídos por temáticas autóctonas como todo lo que envuelve a la comarca de Sanabria o los Arribes del Duero.
A la pregunta acerca de la no celebración de la Feria del Libro, el dueño de Semuret nos muestra su impotencia e indignación ante tal desidia. Al fin y al cabo los libros, sean novelas, cuentos o poesía, sirven de refugio para todos en cualquier momento del día y época del año.